Lectures des beaux jours...

Les beaux jours arrivent et avec eux une pluie de romans et de novellas. Comme à l'accoutumée, mon choix se porte principalement sur des œuvres de science-fiction mais malheureusement, la diversité n'est pas au rendez-vous puisqu'aucune autrice n'est présente. Autre particularité, ce ne sont que des auteurs dont j'ai déjà lu et apprécié au moins un précédent roman.

Le roman le plus attendu est probablement le deuxième volet du diptyque The House of Styx de Derek Künsken. Après Les Profondeurs de Vénus, il me tarde de retrouver les membres de la famille d'Aquilon dans La Maison des Saints.

Mai, c'est aussi le mois Une-Heure-Lumière du Bélial avec deux novellas et le Hors-Série annuel. Au programme, Adam-Troy Castro pour un texte s'inscrivant dans l'univers des Marionnettes, Sam J. Miller, l'auteur de La Cité de l'Orque, pour un texte autour du tatouage et le HS nous donnera l'occasion de lire une longue nouvelle de Rich Larson, auteur que l'on ne présente plus.

Chez Rivages Imaginaires le retour de Brian Everson, l'auteur des exceptionnels Immobilités et L'Antre, avec un recueil de nouvelles intitulé : Comptine pour la dissolution du monde.

Un autre retour chez Critic, celui de Jean Krug, qui revient à ses amours de glace avec La couleur du froid. 

Frédéric Landragin revient avec un essai autour des Intelligences Artificielles, Aimer les robots avec Blade Runner, cette fois-ci chez Dunod. Il est probable que certaines notions aient déjà été abordées dans Comment parle un Robot ? publié dans la collection Parallaxe du Bélial, mais une petite piqûre de rappel ne fera pas de mal, d'autant plus que l'auteur est un vulgarisateur hors pair.

Enfin chez Actes Sud, Mondes parallèles, une histoire d'amour le dernier roman de Keigo Highashino qui renoue avec l'imaginaire, quelques années après Les Miracles du Bazar Namiya.

Et pour terminer sur une note note imaginaire, le deuxième roman de Benjamin Stevenson qui après Tout le monde dans ma famille a déjà tué quelqu'un, un roman jubilatoire qui tord le cou aux romans à énigmes, revient avec Tout le monde dans ce train est suspect. Le titre seul nous promet un bon moment de lecture.