La rentrée littéraire 2024

 

Petit tour d'horizon des premières sorties de l'année prochaine. Ma pile à lire étant déjà conséquente, la sélection ne se composera que d'une dizaine d'ouvrages pour les deux premiers mois de l'année. Sélection orientée SF, tendance cyberpunk et IA.

On commence avec Le Bélial et sa traditionnelle novella Une-Heure-Lumière de début d'année. Claire North, l'autrice de la fantastique trilogie La Maison des Jeux, ouvre le bal avec Sweet Harmony. Le Bifrost 113 sera consacré au sujet à la mode du moment : l'Intelligence Artificielle avec des nouvelles de Jean-Marc Ligny, Thierry Di Rollo, Audrey Pleynet et Greg Egan. L'auteur australien sera d'ailleurs à l'honneur avec la publication d'Instanciations et la réédition de son premier roman Isolation.





Albin Michel Imaginaire publiera le quatrième roman d'Emilie Querbalec : Les sentiers de Recouvrance. Après Les Chants de Nüying qui m'avait enthousiasmé, l'autrice nous emmène dans un tout autre univers bien plus proche de nous en pleine révolution écologique...



Aux Forges de Vulcain, la parution du septième roman de Michèle Astrud : Simplement Immortels, un texte de hard SF qui serait avant tout une fantastique histoire d’amour tragique.



Chez Mnémos, Central Station de Lavie Thidar, un roman cyberpunk qui semble sortir des sentiers battus sur la forme comme sur le fond.



Chez l'Atalante, le premier opus de la trilogie de Louise Carey : Le Programme Harlow, un thriller dystopique. J'espère qu'il y aura de l'originalité dans ce genre déjà très exploité.



Le retour, tant attendu, de Mary Robinett Kowal, l'autrice de la saga Lady Astronaut, chez Denoël avec L'Homme Superflu, un huis clos se déroulant à bord d'une navette spatiale faisant la jonction entre Mars et la Lune.



Et pour finir, hors Imaginaire, le roman choral d'Edouard Jousselin : La géométrie des possibles, qui dresse une peinture réaliste de notre société entre les années 90 et aujourd'hui, à travers une dizaine de personnages.



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