Après une première sélection pour la rentrée automnale 2025 couvrant les mois d'août et septembre (ce qui s'apparente du coup à une rentrée de fin d'estive !), me revoilà avec un repérage pour les derniers mois de l'année (enfin surtout pour celui d'octobre, le reste étant nébuleux voire absent !).
On ne va pas refaire l'article sur le manque de communication de nombreux éditeurs, ni sur le fait que la production SF se réduit d'année en année. Ceci étant dit, comme pour le premier billet, mon choix sera très restreint (mais de qualité !) et permettra de se pencher sur des lectures plus blanches mais toujours teintées d'Imaginaire.
Comme souvent toujours, c'est chez Le Bélial que le bonheur se trouvera. Il y aura bien une ou deux novellas Une-Heure-Lumière pour clore l'année (mais n'ayant pas les couv' pour le moment, j'y reviendrai en temps voulu). Le gros morceau est sans conteste La Grande Muraille de Mars, un recueil de dix-sept textes (et presque 700 pages) d'Alastair Reynolds (l'un des maîtres incontestés et incontestables de la SF de ces trente dernières années). On ajoutera le Bifrost n°120 consacré au Multiversalisme et un opus de la collection Parallaxe dédié au film Avatar.
Chez Mnémos, MNE/SYS une anthologie regroupant cinq nouvelles SF sur le thème de la mémoire, par cinq premiers talents. L'occasion donc de découvrir de nouvelles plumes.
Chez J'ai Lu Imaginaire dans la collection Nouveaux Millénaires, le deuxième tome de la trilogie de La Constellation des Ombres de Bethany Jacobs (dont je dois lire le premier opus !).
Chez Robert Laffont, une traduction danoise, fait assez rare pour le souligner, avec le premier volet de la duologie de Viggo Bjerring : Le coeur du monde.
Et pour finir chez Métailié, La Station, un roman polonais de Jakub Szamalek se déroulant au bord de la Station Spatiale Internationale, un huis-clos sur fond d'une nouvelle guerre froide.
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